Habitée de monstres paresseux, de cancres ventripotents et de curieuses silhouettes masquées, la ville invisible aux maisons volantes d’Alix Loca se raconte sur les murs et sur le corps.
Sa collection de curiosités propose une famille de jouets mécaniques et de créatures nonchalantes à planquer dans la maison, à agripper aux oreilles.
C’est au moyen de sa collection de bijoux que ses premières bestioles quittent le nid de l’atelier.
Tracées dans le laiton puis finement dorées à l’or fin ou à l’argent, les indociles silhouettes dessinent des bijoux aussi discrets que culottés.